Comment représenter les flux vers une passerelle API ?
Bonne pratique recommandée : La meilleure pratique consiste à représenter fidèlement la réalité. Cela implique de modéliser explicitement les flux de données en deux temps...
Bonne pratique recommandée
La meilleure pratique consiste à représenter fidèlement la réalité. Cela implique de modéliser explicitement les flux de données en deux temps :
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du producteur ou consommateur de données vers la passerelle API,
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puis de la passerelle API vers l'application cible (ou depuis celle-ci).
La passerelle API (ou API Gateway) doit être représentée comme une application à part entière dans la cartographie.
Pourquoi cette approche ?
Modéliser la passerelle API permet de :
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visualiser clairement son rôle dans les échanges de données,
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effectuer des recherches ou filtres par type de flux, exposition, consommation, ou sécurité,
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produire des vues spécifiques sur les APIs exposées,
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anticiper les impacts d’un changement ou d’une indisponibilité de la passerelle.
Et si on ne modélise pas la passerelle API ?
Il est possible de représenter les flux directement entre les applications, sans passer par la passerelle. Cependant, cette approche a des limites :
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elle occulte un composant technique central de l’architecture,
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elle réduit les possibilités d’analyse, de visualisation et de requêtage dans l’outil de cartographie,
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elle peut induire des erreurs d’interprétation, notamment sur la sécurité, les points d’exposition ou les responsabilités.